On sait que ce pied plat, digne qu’on le confonde, Par de sales emplois s’est poussé dans le monde. […] Telles sont, je crois, les leçons qui ressortent du chef-d’œuvre de Molière ; elles sont dignes du grand comique, dignes du génie sociable et bon de notre race, et il les donne à Alceste, comme don Juan fait l’aumône au pauvre, — pour l’amour de l’humanité. […] Si cette page vous paraît si digne de foi, pourquoi rejetez-vous les autres ?