Molière, comptant sans doute qu’il ne le serait jamais, en tira quelques traits qu’il jugea dignes d’être insérés dans d’autres Pièces. […] Un Curé, dans un livre présenté au roi, décida que l’Auteur était digne du feu, et le damnait de sa propre autorité. […] La Compagnie s’était arrangée au sujet de sa profession : il n’aurait plus joué que des rôles de Haut-Comique ; mais sa mort précipitée le priva d’une Place bien méritée, et l’Académie d’un sujet si digne de la remplir.