Moliere a peint dans cette scene Didier l’Amour, dont parle Despréaux dans le second chant de son Lutrin : sa digne moitié étoit une clabaudeuse, & il l’étrilloit sans s’émouvoir.
Moliere a peint dans cette scene Didier l’Amour, dont parle Despréaux dans le second chant de son Lutrin : sa digne moitié étoit une clabaudeuse, & il l’étrilloit sans s’émouvoir.