L’on pourra m’objecter, peut-être, que du temps de Thomas Corneille, le beau monde étant moins difficile sur les bienséances, l’Auteur devoit le peindre tel qu’il étoit ; que s’il eût travaillé dans ce temps-ci, son intrigue auroit été préparée & filée avec toute la décence, toutes les bienséances dignes du rang de ses intrigants, & d’un siecle aussi délicat, aussi civilisé que le nôtre.