Molière a tracé, dans la même pièce, trois portraits différents de ce ridicule, qui prouvent une fois de plus la fécondité de son génie et la finesse de son observation. […] L’exemple de ces trois femmes, diverses d’humeurs, et gâtées à des degrés différents par la science, n’est propre qu’à nous en dégoûter. […] Nous-mêmes que le désir et l’amour de la perfection anime et transporte, nous l’entendons de cent façons différentes.