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104. (1862) Molière et ses contemporains dans Le Misanthrope (Revue trimestrielle) pp. 292-316

On a cru reconnaître dans Clitandre et Acaste, à qui Molière a prêté un genre de fatuité différent, de-Guiche, le plus léger, le plus fin, le plus ironique des-marquis, et de Lauzun, avec sa silencieuse hardiesse, son impertinent éclat et sa fatuité résolue13. […] Le poète comique puise .ses inspirations à deux sources différentes : l’une, la société qui l’entoure, avec ses ridicules et ses vices particuliers ; l’autre, le fond invariable -de la nature humaine.

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