Pour les faire cesser, l’auteur déclara n’avoir voulu jouer que les fausses précieuses ; qu’il fallait distinguer entre les grandes et les petites précieuses, entre les illustres, qui étaient au-dessus de toute atteinte, et les ridicules, qui étaient un véritable objet de satire ; il assura que ces dernières seules étaient représentées dans sa comédie. […] Ce sont des bourgeoises du dernier ordre, qui veulent éprendre le ton des femmes de qualité. […] Henri Estienne ne prétend pas que tous les changements survenus dans la langue sous les derniers Valois aient eu pour unique cause le courtisanisme.