Allons vite en dresser un écrit, « Et que puisse l’envie en crever de dépit ! […] Alexis Martin : À propos d’un vers du Dépit amoureux Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 6, 1er septembre 1879, p. 174-176. […] Si les commentateurs avaient pris la peine d’étudier l’histoire typographique du Dépit amoureux, ils auraient reconnu, nous le croyons, que cette faute est simplement une faute d’impression, commise à l’origine, passée inaperçue aux yeux de l’auteur par une raison que nous allons donner tout à l’heure, et répétée dans toutes les éditions qui se sont succédé par suite de cet esprit de routine dont les meilleurs esprits ne sont pas toujours exempts. Il est à peu près certain que la première édition du Dépit amoureux fut imprimée en province. […] Le Dépit amoureux se jouait alors en cinq actes, mais pour abréger la représentation, un certain nombre de vers ne se disaient pas au théâtre ; Vinot et La Grange ont pris soin d’indiquer ces coupures en marquant de guillemets les vers ainsi supprimés.