VII, XVI ; le Dépit amoureux, act. […] Molière fait allusion à ces hésitations entre les deux maîtresses et à ce retour vers la première dans la première entrée de Ballet du troisième intermède, où se trouve une petite scène intitulée Dépit amoureux, qui consiste uniquement dans la traduction gracieuse de l’ode d’Horace : Donec gratus eram tibi (Lib.