« Ce qui semblerait venir à l’appui de cette allégation, c’est d’abord la connaissance parfaite de la langue italienne que possédait Molière, ensuite sa propension à mettre en scène des Napolitains et des Siciliens, et enfin, le dénouement de la comédie de l’Avare, fondé précisément sur les événements politiques qui venaient de se passer à Naples. » Mais ne serait-il pas permis de penser que M. de Modène, bon camarade de Molière, lui donna çà et là des scènes toutes faites dans ses premières comédies. […] — J’en serais bien fâché, répliqua Molière, je lui gâterais son jeu. » Le pauvre grand homme était surtout mécontent de lui ; c’est qu’il y avait dans sa pièce une comédienne occulte qui devait être du dénouement ; cette comédienne, c’était aussi la Mort.