Arnolphe s’est perdu lui-même ; ou plutôt c’est l’idée de tenir une femme dans l’ignorance pour l’avoir mieux dans la main, que le poète a condamnée par ce dénouement. […] Elle souffre du bonheur des autres, et quand les choses s’arrangent au dénouement, le dernier mot qui lui échappe est encore un cri de l’égoïsme : Ainsi donc à leurs vœux vous me sacrifiez19.