Qu’on défende aux journalistes de nommer Molière, dans leurs feuilletons, pendant dix ans, et dans moins de dix ans vous n’en serez plus aux regrets de n’avoir rencontré personne pour remplacer Molière.
Qu’on défende aux journalistes de nommer Molière, dans leurs feuilletons, pendant dix ans, et dans moins de dix ans vous n’en serez plus aux regrets de n’avoir rencontré personne pour remplacer Molière.