Par le choix des personnages ridicules qu’il introduit, il paroît n’avoir pas eu moins en vûë de faire la satyre de ses censeurs, que l’apologie de sa piéce ; séduit peut-être par le panchant de la malignité humaine, qui croit ne pouvoir pas mieux se défendre qu’en attaquant. […] Le Roi défendit 31 dès lors cette comédie pour le public, jusqu’à ce qu’elle fût achevée & examinée par des gens capables d’en faire un juste discernement, & ajoûta,32 qu’il ne trouvoit rien à dire à cette comédie.