Les auteurs dramatiques, en général, et Molière en particulier, ont fait agir et parler un grand nombre de femmes douées de qualités et de défauts divers. […] Armande a les défauts de sa mère, et ne possède aucune de ses qualités ; elle est même plus vicieuse. […] Aristophane les représente volontiers comme des êtres malins et malfaisants, dont les moindres défauts sont de voler le maître et de boire son vin. […] Il est bien obligé de représenter leurs défauts, puisqu’enfin elles en ont, et que les défauts sont avec les ridicules la propre matière de la comédie. […] Enfin, Henriette a de la tête, ce qui est loin d’être un défaut dans une femme.