I Molière était l’objet constant de l’étude de Stendhal ; l’exemplaire du Molière appartenant à M. de Spoelberch a été pour Stendhal un prétexte pour réunir grand nombre de ses réflexions faites en réalité d’après l’édition stéréotype de Didot. […] Vers 1803, je pris réellement un peu l’habitude de cette philosophie de Scapin, et cela d’après ce passage-ci, mais elle ne donnait que du malheur cette philosophie Pour moi des maux de bien loin, la plus cruelle [sic], c’est de prévoir. […] Poquelin de Molière. — Edition stéréotype d’après le procédé de Firmin Didot.