On a dit alors que le sujet, l’imbroglio, les détails accessoires étaient pris un peu partout, et que tout cela d’ailleurs ne dépassait pas la moyenne des ouvrages courants. […] J’avoue que, pour ma part, lorsque j’ai été un peu de temps sans les revoir ou sans les entendre, je m’y brouille un peu, et qu’il en est cinq ou six comme celles-là, soit dans L’École des maris, soit dans L’École des femmes, qui exposent notre esprit à des confusions d’ailleurs instructives et sans danger.