Le moine, bon dans un conte, était inadmissible sur la scène, surtout en pays d’inquisition ; c’était d’ailleurs une excellente idée dramatique, que d’avoir substitué à ce personnage indifférent, désintéressé, un personnage qui agît contre lui-même, qui travaillât à sa propre ruine. […] Une ou deux ressemblances fort légères entre deux ouvrages puisés à une source commune, n’autorisent point cette opinion, et d’ailleurs les deux représentations furent tellement rapprochées que Molière n’eût pas eu le temps de s’approprier une seule des idées de son devancier.