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98. (1884) La Science du cœur humain, ou la Psychologie des sentiments et des passions, d’après les oeuvres de Molière pp. 5-136

Bien que le théâtre doive être moral autant que possible, il ne faut pas oublier qu’il est avant tout un lieu de délassement, ainsi que Molière l’a indiqué dans la Critique de l’École des Femmes. […] Mais quand j’entends les critiques me parler de ces comédies comme utiles et instructives, j’ai bien le droit de demander : utiles à quoi ? […] Célimène, de son côté, qui ne s’aperçoit pas des passions semblables qui l’obsèdent, critique également avec exactitude les travers de son interlocutrice. […] La critique de M. […] Mais, malgré les réserves que le Poète met dans la bouche des personnages raisonnables de la pièce, on sent que la critique porte plus loin que le pédantisme et les femmes docteurs. » M.

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