Mais Isabelle craint que Valère ne s’y soit mépris. […] Ne craignez rien : son triomphe est encore trop près ; il en a gardé toutes les fumées. […] Il a craint que la vérité de la nature ne fît pas assez d’effet ; il l’a quelquefois chargée pour la faire applaudir. […] Il n’a pas craint leurs originaux dans le monde, et il ne leur fait pas l’honneur de se fâcher en traçant leurs portraits. […] Son travers est d’avoir peur de sa femme, et de se persuader qu’il ne la craint pas.