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120. (1900) Quarante ans de théâtre. [II]. Molière et la comédie classique pp. 3-392

S’il y avait un moyen de se garer, tout en devenant époux et père, de l’accident qu’il craint, il se marierait volontiers. […] On ne craint plus rien de la scène qui va suivre. […] Elle a eu souvent raison des résistances de son maître qu’elle connaît bien, et qu’elle ne craint guère. […] Est-ce qu’il aurait à craindre que cela lui donnât de coupables pensées ? […] Il a peut-être causé avec Molière, mais je crains qu’il ne l’ait pas bien compris.

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