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17. (1882) Molière (Études littéraires, extrait) pp. 384-490

On eût dit un de ces coups de tonnerre qui chassent tous les brouillards. […] Cependant Mercure le décide à suivre le conseil de Plutus ; et, creusant la terre d’un coup de bêche, Timon en retire un trésor. […] Mais abrégeons : cette foule devient si pressante, que Timon est obligé de faire place nette à coups de hoyau. […] Or, il est probable que ce choix ne fut pas une surprise et un coup d’audace improvisé par l’initiative d’un poète confiant dans sa faveur. […] Sous ce coup inattendu, Molière ne courba point la tête.

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