Pourquoi ne paie-t-on pas d’un coup de sifflet des polissonneries très fortes ? […] Mais la mort a mis l’Auteur à couvert des coups du parterre ; & ne pouvant plus humilier sa vanité, on lui pardonne les déréglements de son esprit. […] le Chevalier est plus que cela ; c’est un extravagant, que son cher oncle devoit régaler de quelques coups de canne, ou du moins faire enfermer. […] Enfin Moliere fit si bien, que Cotin, accablé du coup, tomba dans une mélancolie qui le conduisit au tombeau. […] Leur tronc inébranlable, & leur pompeuse tête Résiste, en se touchant, aux coups de la tempête.