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14. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. De la Décence & de l’Indécence. » pp. 314-341

Pourquoi ne paie-t-on pas d’un coup de sifflet des polissonneries très fortes ? […] Mais la mort a mis l’Auteur à couvert des coups du parterre ; & ne pouvant plus humilier sa vanité, on lui pardonne les déréglements de son esprit. […] le Chevalier est plus que cela ; c’est un extravagant, que son cher oncle devoit régaler de quelques coups de canne, ou du moins faire enfermer. […] Enfin Moliere fit si bien, que Cotin, accablé du coup, tomba dans une mélancolie qui le conduisit au tombeau. […] Leur tronc inébranlable, & leur pompeuse tête Résiste, en se touchant, aux coups de la tempête.

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