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124. (1892) Vie de J.-B. P. Molière : Histoire de son théâtre et de sa troupe pp. 2-405

Il n’avait pas fait, comme on le dit d’ordinaire, un de ces coups de tête qui sont toujours suivis d’un prompt repentir.  […] Molière donne enfin L’Étourdi comme par un coup de désespoir. […] Il est douteux que la troupe fût sortie sans cela du pas scabreux où elle se trouva tout à coup jetée. […] Avec Don Garde ou le Prince jaloux se termine la période des esquisses, des ébauches, des tâtonnements, des coups d’essai, pour ainsi dire, coups d’essai qui, pour un autre que Molière, seraient des coups de maître. […] La première a certainement été faite après coup, les souvenirs de La Grange n’étaient plus bien précis.

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