/ 208
117. (1800) De la comédie dans le siècle de Louis XIV (Lycée, t. II, chap. VI) pp. 204-293

Les pointes commencèrent à tomber, mais lentement : comme elles se soutenaient dans les sociétés qui donnaient le ton, le théâtre n’en était pas encore purgé, à beaucoup près, et ce furent les Précieuses ridicules et les Femmes savantes qui portèrent le dernier coup. […] Molière n’est jamais fin; il est profond, c’est-à-dire que, lorsqu’il a donné son coup de pinceau, il est impossible d’aller au-delà. […] Jourdain dit naïvement : Ne voilà pas le coup de langue ? […] Jourdain pour se plaindre d’un coup de langue quand on lui rappelle qu’il est le fils de son père. […] Il ne peut contenir son indignation, et le charge de coups en lui reprochant son impudente hypocrisie.

/ 208