Molière, au sortir de l’enfance, avait vu les derniers et les plus terribles coups portés par Richelieu mourant, pour retenir le pouvoir qui allait lui échapper avec la vie. […] S’il eut souvent à souffrir de leurs manœuvres, il ramassa toutes ses forces pour leur porter un seul coup, mais un coup dont ils se sentiront toujours ; et l’on pouvait même croire qu’il les avait entièrement détruits. […] Beffara avait aussi découvert plusieurs autres pièces qui semblaient faire tomber du même coup dans le néant l’accusation et la défense. […] » et Michot crut l’avoir atterré du coup. « Oh ! […] Peu de temps après, ce poète mourut de chagrin, on peut-être même des suites du coup.