Avec cela, et cinq ou six mots en vogue, elle soutient la conversation tout un jour. […] C’est alors que survient Dorine, avec son tablier plein de bois, et qu’elle surprend la conversation en remettant une bûche au feu. […] N’était-ce pas un curieux apologue en bois sculpté bien digne de servir d’enseigne à la maison natale du grand observateur qui, mettant à profit tout ce qui tombait pour lui des conversations et des jeux d’esprit du monde, ne fit souvent à sa manière que ce que faisait le vieux singe ? […] Lisez les Conversations avec Goethe, publiées par Eckermann — qui était à Goethe à peu près ce qu’était La Grange à Molière — et vous y apprendrez comment le plus grand poète de l’Allemagne se déclarait à Eckermann en 1827 : « Depuis mon adolescence, j’aime Molière, et pendant toute ma vie j’ai profité de lui.