Après sa confession, elle dit au Pere qu’elle avoit une confidence à lui faire, & une grace à lui demander. « Vous savez qui je suis, mon Révérend Pere, & vous connoissez mon mari, qui m’aime plus que sa vie, & qui ne me refuse rien. […] Quand elle ne vous auroit pas fait connoître le mépris qu’elle a pour vous, mes remontrances & la parole que vous m’aviez donnée auroient dû vous retenir. […] J’ai rapporté ceux-ci pour faire connoître l’art avec lequel notre comique a su les rendre propres à nos mœurs & à son sujet.