Plus on connaît Molière, plus on l’aime. […] Je ne connais guère que les gens de lettres à qui l’on a recommandé expressément de ne point sentir les injures.
Plus on connaît Molière, plus on l’aime. […] Je ne connais guère que les gens de lettres à qui l’on a recommandé expressément de ne point sentir les injures.