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94. (1900) Quarante ans de théâtre. [II]. Molière et la comédie classique pp. 3-392

Mais Molière ne s’est pas donné la peine de le justifier par la conduite tout entière de sa comédie. […] Si le ridicule était une affaire de raison, c’est votre conduite qui serait digne d’être raillée. […] Je ne parle pas de la conduite de la pièce. […] La conduite de Tartuffe est bien abominable. […] Dans sa conduite, elle est sensée et discrète.

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