Je pense que nous devons abandonner les allégories de la premiere espece à nos bons aïeux ; celles de la seconde, au théâtre de Nicolet & des spectacles qui rivalisent avec les guinguettes ; celles de la troisieme, à l’Opéra Comique, lorsque tout-à-fait gelé, morfondu par des sentences qu’on veut bien appeller philosophiques, il sera obligé de se réchauffer16 en redevenant licencieux ; celles enfin de la quatrieme espece, aux Auteurs de Londres, qui, sur la scene, représentent tranquillement l’Etat sous l’allégorie d’une charrue ou d’une charrette bien ou mal conduite, selon les Ministres qu’ils y attelent.