Le premier de ces textes, dont l’importance n’échappera à aucun des lecteurs du Moliériste, est une lettre adressée aux consuls d’Albi par le comte de Breteuil, intendant de la province du Languedoc : Messieurs « Étant arrivé en notre ville, j’ai trouvé la troupe des comédiens de M. le duc d’Épernon qui m’ont dit que votre ville les avait mandés pour donner la comédie pendant que M. le comte d’Aubijoux y a demeuré, ce qu’ils ont fait sans qu’on leur ait tenu la promesse qu’on leur avait faite, qui est qu’on leur avait promis une somme de six cents livres et le port et conduite de leurs bagages.