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126. (1882) Molière (Études littéraires, extrait) pp. 384-490

L’étude qui va suivre prouvera que ces erreurs ou ces paradoxes ne sauraient résister à un examen vraiment impartial des intentions manifestées par la conduite et le jeu des caractères. […] Il n’y a pas une langueur dans la conduite de ce drame dont l’exposition est aussi heureuse121 que son dénouement nous paraît logique et nécessaire, oui, nécessaire, et non pas artificiel, comme on l’a prétendu122 : car une peste publique devait être légitimement punie par la Puissance publique.

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