Ce n’est pas dans les conseils ni sur les champs de bataille que Molière pouvait s’acquitter de son devoir de sujet : il contribua, selon les moyens de sa condition, au divertissement du monarque. […] dans ces conditions, les Fâcheux, il faut l’avouer, n’ont qu’un charme languissant ; les restes de ce divertissement de société, conservés sur un théâtre, nous divertissent mal. […] C’est qu’en somme ce n’est point ici une pièce de théâtre, ou du moins ce n’est pas une pièce qu’il soit bon de représenter sur un théâtre ; et dans ces conditions.