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20. (1886) Molière et L’École des femmes pp. 1-47

Eh bien, cette manière de comprendre Le Misanthrope, qui a été bien certainement la première et qui est restée bien certainement la bonne, aujourd’hui elle ressemble à un blasphème. […] Je ne vais pas, vous le comprenez, vous raconter L’École des femmes. […] Je viens de vous indiquer, mesdames et messieurs, une manière d’analyser et de comprendre L’École des femmes. […] Un critique parisien, bien connu pour ses développements oratoires et sa bienveillance universelle, auquel on reprochait sa manière de comprendre Molière, répondait par ces mots : « tant pis pour lui s’il est autrement ; je le grandis. […] — si Molière a bien eu l’idée de mettre, et a bien mis en effet dans L’École des femmes tout ce qu’il nous plaît d’y trouver aujourd’hui, y compris la lune !

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