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167. (1819) Notices des œuvres de Molière (III) : L’École des femmes ; La Critique de l’École des femmes ; L’Impromptu de Versailles ; Le Mariage forcé pp. 164-421

Lorsque nous lisons, dans L’Impromptu de Versailles, qu’ il faut qu’un roi de théâtre soit gros et gras comme quatre, entripaillé comme il faut, d’une vaste circonférence, afin de remplir un trône de la belle manière , et que nous y reconnaissons le portrait fidèle de Montfleury, qui était si gros que, suivant Cyrano de Bergerac, on ne pouvait le bâtonner tout entier dans un jour, nous avons bien de la peine à comprendre comment il pouvait représenter Oreste.

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