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14. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XVII. Conclusion » pp. 339-351

Ils se trouvaient ensemble dans les résidences royales, participaient souvent aux mêmes fêtes, aux mêmes spectacles ; ils assistaient à de communs repas : « Molière, dit Palaprat, vivait dans une étroite familiarité avec les Italiens, parce qu’ils étaient bons acteurs et fort honnêtes gens. » On s’explique parfaitement l’influence qu’un de ces théâtres eut sur l’autre. […] Tout cela forme sans doute un fonds commun assez considérable.

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