Enfin, qu’est-ce encore une fois que la science du bien et du mal, dans les œuvres d’un comédien qui ne la fonde que sur la crainte du ridicule, c’est-à-dire sur l’amour propre, et qui ne peut guère offrir à sa morale d’autre sanction sensible qu’un miracle, une intervention directe de Dieu20 ou du roi21, venant à point nommé prouver, par leur autorité indiscutable, qu’il ne fait pas bon les braver ?