Comme l’affaire: de la comédie est de représenter en général tous les défauts des hommes et principalement des hommes de notre siècle», il est impossible à Molière de faire aucun caractère qui ne rencontre quelqu’un dans le monde29. » Peindre les mœurs sans, vouloir tomber aux personnes, représenter en général tous les défauts des hommes et en particulier des hommes, de sait siècle , voilà donc tout. […] Guizot, Ménandre, étude hist. et litt sur la comédie, etc. […] —Voir aussi, dans les Nouveaux Mémoires de l’Académie des sciences et belles-lettres de Berlin, 1770, le Discours sur Matière, par Bitaubé, p. 346. — Essai sur la comédie, suivi d’analyses du Misanthrope et du Tartufe, par de Saint-Prosper, Paris, 1812. […] « Molière, a dit Lagrange, camarade et ami du grand homme et le premier éditeur de ses œuvres complètes, Molière faisait d’admirables applications dans ses comédies, où l’on peut dire qu’il a joué tout le monde puisqu’il s’y est joué le premier en plusieurs endroits, sur les affaires de sa famille et qui regardaient ce qui se passait dans son domestique; c’est ce que ses amis particuliers ont remarqué bien des fois. » (Voir Sainte- Beuve, Nouveaux portraits.)