Je me range donc à l’avis des critiques français qui mettent la comédie en vers fort au-dessus de la comédie en prose. […] Voltaire l’appelle le père de la vraie comédie, et, pour la France, il se peut qu’il ait raison. […] Mais ce n’est pas avec des sentences qu’il est possible de composer une comédie. […] Les comédies de Boursault, qui du reste ne manquent pas de mérite, sont trop longues et trop diffuses. […] C’est une comédie historique où le mendiant et le roi parlent chacun le langage de son état.