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209. (1769) Idées sur Molière pp. 57-67

Ses comédies bien lues pourraient suppléer à l’expérience, non pas parce qu’il a peint des ridicules qui passent, mais parce qu’il a peint l’homme qui ne change point. […] Il plaît autant à la lecture qu’à la représentation, ce qui n’est arrivé qu’à Racine et à lui ; et même de toutes les comédies, celles de Molière sont à-peu-près les seules que l’on aime à relire. […] C’était voir mieux que Corneille, qui exhorta Racine à faire des comédies et à quitter le tragique.

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