Malgré l’échec d’une comédie en 1743, puis d’une tragédie en 1752, il persévère et obtint le succès en 1760, et en 1761, il succède à Du Resnel à l’Académie française. […] Ses œuvres, tragédies, comédies, poèmes, sont dans le goût du temps ; les sujets sont empruntés à l’exotisme, à l’Antiquité classique et surtout à la littérature anglaise ; il cherche à émouvoir, attendrir ou effrayer, plutôt qu’à présenter des situations vraisemblable ou à respecter l’histoire.