/ 316
149. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE XI. De la Religion. Principe et Sanction de la Morale de Molière. » pp. 217-240

Ils ne sont point une nécessité de la comédie, qui aurait produit le même effet avec des affirmations moins précises. […] Quelque mine qu’ils fassent, ce n’est point du tout l’intérêt de Dieu qui les peut émouvoir ; ils l’ont assez montré dans les comédies qu’ils ont souffert qu’on ait jouées tant de fois en public sans en dire le moindre mot. […] La sanction de la morale de Molière ne doit pas être cherchée non plus dans les dénouements miraculeux par lesquels il termine brusquement ses comédies. […] Et il prétend justifier à la fin sa comédie si pleine de blasphèmes, à la faveur d’une fusée qu’il fait le ministre ridicule de la vengeance divine. » Que dire à cela ? […] — Voir aussi comme défense et justification de celle pièce, la lettre sur la comédie de l’Imposteur, publiée le 20 août 1667, et dont Molière peut être regardé comme l’auteur.

/ 316