La première est, en fin de compte, une femme de tête, de cœur et de ressources. […] Et cependant avec toute sa diablerie, Il faut que je l’appelle et mon cœur et ma mie. […] Comme il prend plaisir à pénétrer et à révéler les doux secrets de ces jeunes cœurs s’entrouvrant aux plus tendres sentiments ! […] Malheureusement le cœur lui fait défaut ; l’égoïsme de la coquetterie et les adulations du monde l’ont marmorisée. […] Que de malice et de cœur tout à la fois !