» Nous serions portés à condamner un tel langage, si la vanité, l’affectation, la sécheresse de cœur des deux précieuses ne nous semblait bientôt plus insupportables que le lourd bon sens de Gorgibus. […] Un cœur de berger, sans doute ; mais lui-même, à Célimène, parlera tout autrement. […] je n’aurais jamais cette faiblesse extrême De vouloir posséder un cœur malgré lui-même ! […] Il ne pourra jamais avoir au cœur la tendresse naturelle du père pour les siens et sera souvent tenté d’user mal de son influence spirituelle, afin de contenter de temporels désirs. […] Oui, vous n’aurez pas ce cœur-là.