Vous en aurez menti, maudite robe, dis-je : Vous ne pourrez jamais me porter dans le cœur Rien de votre poison, ni de votre noirceur. […] Il en est des caracteres du cœur humain, comme du caractere des états ou des professions ; ils n’ont pas varié davantage : nous tâcherons de le prouver dans le chapitre suivant.