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19. (1879) Les comédiennes de Molière pp. 1-179

Sous les gais tableaux du conteur, on sent battre le cœur de Molière. […] La femme était l’esprit, la maîtresse était le cœur ; Molière s’obstinait à vaincre l’esprit, mais dans ses défaites il lui était doux de trouver au moins l’esprit du cœur. […] Aussi quelque désordre où mon cœur soit plongé. […] Corneille lui-même, qui connaissait bien le cœur humain, s’y laissait prendre tout le premier. […] Son esprit n’emportait pas son cœur vers les vanités de la comédie ; il semble au contraire que son cœur entraînait son esprit.

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