Molière avait le cœur fier, et la vocation de comédien, dans ce temps-là surtout, n’était pas de celles où le cœur a le moins à souffrir. […] Il avait le cœur tendre, tendre à l’excès. […] Mais le cœur humain est si riche en inconséquences et en bizarreries ! […] Le cœur d’Alceste est un trésor encore vierge que le monde n’a pas entamé. […] Avez-vous bien le cœur de me traiter ainsi ?