Sir Charles est alarmé : son pere paroît ; il lui met la pointe de son épée sur le cœur, & le menace de le tuer s’il fait un pas. […] Il seroit assez bien que l’orchestre, pendant cet entr’acte, ne jouât que de la musique douce & triste, même avec des sourdines, comme si ce n’étoit qu’un bruit éloigné de quelques maisons voisines : le cœur de tout le monde est trop en presse dans celle-ci, pour qu’on puisse supposer qu’il s’y fait de la musique ». […] Le second tableau a banni de mon cœur tout l’effet que le premier y avoit produit.