C’est-à-dire : Monsieur Jourdain, votre cœur soit toute l’année comme un rosier fleuri. […] Rosalie paroît, dit à Damis que son cœur est toujours à lui. […] N’a-t-il pas son peu de délicatesse, ou plutôt sa lâcheté, puisqu’il s’embarrasse peu de posséder le cœur de son épouse, pourvu qu’il jouisse de sa fortune ?