/ 173
77. (1914) En lisant Molière : l’homme et son temps, l’écrivain et son œuvre pp. 1-315

» Il aurait pu citer d’autres passages. […] Cela est dans les intermèdes ; comme on ne les lit jamais, j’ai tenu à le citer comme page inconnue de Molière. […] Avec Voltaire je regrette que ce soit cette pièce que Boileau ait citée comme type du bas comique où il n’aurait pas voulu que Molière se permît de descendre. […] Il vient de dire ce que j’ai transcrit, que les drogues sont dangereuses (ce qu’on omet toujours quand on le cite oubliant que c’est la base même de son raisonnement). […] J’ajoute qu’Angélique ne plaide point du tout une thèse générale, qui serait le seul cas où l’on serait — très peu mais quelque peu — autorisé à supposer que Molière parle par sa jolie bouche ; elle plaide son cas qui est celui-ci : on l’a épousée sans qu’elle y consentît, et avant les paroles qu’on nous cite et qu’on nous cite comme la pensée centrale de la philosophie de Molière elle dit : « La foi que je vous ai donnée !

/ 173